jeudi 3 septembre 2009

03

Des mots remplis d'orgueil, comme mes fuites qui t'appellent pourtant.
De ces hommes qui me bercent les soirs de tempêtes où tu n'existes plus.

Sous le soleil, un après-midi, j'ai gravé: Je t'attends et t'espère.

Voilà ce qu'il y a de vrai, ne m'écoute plus maintenant.
J'ai peur de l'apocalypse, c'est tout.

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